Université Laval – Au retour de la semaine de lecture, des flèches fluos poussent sur le campus. Toutes sont pointées en direction de bris qui tardent à être réparés, comme des tuiles tombées ou des traces de moisissures. « L’austérité pointée », c’est le nom de cette opération qui vise à faire prendre conscience aux étudiants de l’état délabré de certains pavillons. Notre reporter Kim Chabot a rencontré Stéphanie Audet, étudiante à la maîtrise en études anciennes qui a initié le projet.