Fusions des commissions scolaires: la présidente de la CSQ inquiète des répercussions

 Laurie Noreau

laurie.noreau.2@ulaval.ca

QUÉBEC — La présidente de la Centrale des Syndicats du Québec (CSQ), Louise Chabot, est inquiète des répercussions qu’auront les fusions des commissions scolaires annoncées dans le dernier budget Marceau. Laurie Noreau a assisté à la conférence de presse de madame Chabot.

L’éducation une priorité

Aurore Tamboite

aurore.tamboite.1@ulaval.ca

QUÉBEC — Selon la présidente de la Centrale des Syndicats du Québec, Louise Chabot, le dernier budget Marceau ne laisse présager rien de bon pour les personnes qui réclament la gratuité scolaire. Au cours d’une conférence de presse devant des étudiants à l’Université Laval, Madame Chabot a estimé que le gouvernement Marois parle plus de compressions que de gratuité dans le domaine de l’éducation. Aurore Tamboite s’est interrogée sur les difficultés de faire de l’éducation une priorité et surtout d’en débattre.

Écouter les syndiqué(e)s

Laurence Royer

laurence.royer.1@ulaval.ca

Selon la présidente de la Centrale des Syndicats du Québec, Louise Chabot, le syndicalisme doit se renouveler et être davantage à l’écoute des syndiqués. Comme l’explique Laurence Royer, cette réflexion en est à ses débuts au sein de la CSQ.

Hausse des frais de garderie: indignation

Rosalie Baril

rosalie.baril.1@ulaval.ca

QUÉBEC — La décision du gouvernement Marois de hausser les frais des services de garde est loin de faire l’unanimité tant auprès des parents que des représentants syndicaux. En conférence de presse à l’Université Laval, la présidente de la Centrale des Syndicats du Québec, Louise Chabot s’est dite profondément indignée à ce chapitre par le budget Marceau. Notre journaliste Rosalie Baril est allée mesurer l’impact de cette hausse auprès des jeunes familles.

Conditions de travail de plus en plus difficiles

Alexis Thériault-Laliberté

alexis.theriault-laliberte.1@ulaval.ca

La présidente de la Centrale des Syndicats du Québec, Louise Chabot, est préoccupée par les conditions de travail de plus en plus difficiles dans lesquelles oeuvrent les employés du secteur public. Comme l’a constaté Alexis Thériault-Laliberté cette préoccupation est partagée par des étudiants qui songent à une carrière dans le milieu de l’Éducation.