GRANBY – Au Québec, la réalité de l’enseignement, peu connue pour certains, semble en préoccuper plus d’un. Des enseignants revendiquent de meilleures conditions de travail alors que d’autres souhaitent la reconnaissance de leur profession. À mesure que les listes de suppléance se vident, les nouveaux enseignants faisant leur entrée sur le marché tentent de garder la tête hors de l’eau. Les écoles primaires les accueillent à bras ouverts sans toutefois pouvoir leur offrir des tâches adaptées à leurs capacités. Pour le moment, leur motivation les pousse à persévérer.