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L’exposition Titanic. Récits et destin attire les foules au Musée de la Civilisation de Québec. Avec plus de 157 000 visiteurs en trois mois, elle signe un nouveau record d’affluence. Ce chiffre représente environ 8 000 visiteurs que l’exposition Hergé à Québec qui détenait jusqu’ici le dernier record du musée (photo : Gaëllane Gouillon/L’Exemplaire).
Le succès de l’exposition pour le MCQ se mesure également au-delà de la visite. Une boutique distincte, dédiée au Titanic , a été aménagée à la sortie de la salle. La vendeuse, Laura, confirme que la collection Titanic représente la majorité des ventes du musée. Différents produits dérivés y sont proposés : casse-tête, chandails, livres ou porte-clés (photo: Gaëllane Gouillon/L’Exemplaire).
Le musée offre la possibilité aux visiteurs de dessiner certains éléments de l’exposition. Ici, un homme s’applique à reproduire la reconstitution d’une cabine de première classe du Titanic. Cette dernière fait partie des nombreuses reconstitutions présentées dans l’exposition, illustrant l’ambiance à bord du paquebot (photo : Julianne Bernier/L’Exemplaire).
Des visiteurs regardent une vidéo d'archive sur la situation ouvrière au temps de la création du paquebot. Tout au long de l’exposition, des documents d’archives, des reconstitutions et des objets uniques permettent d’aborder le contexte historique et social du Titanic, ainsi que certains aspects de la vie des passagers. Des audioguides sont aussi disponibles à l'entrée et favorisent la compréhension de l'exposition (photo : Ange-Laurence Brassard/L’Exemplaire).
Le naufrage du Titanic est l’un des drames maritimes les plus connus, mais il n’est pas le seul naufrage d’importance. Cette affiche recense 15 sinistres maritimes survenus entre 1800 et aujourd’hui. Parmi eux figure celui du RMS Empress of Ireland en 1914, au large de Québec, qui fit 1012 victimes sur le fleuve Saint-Laurent (photo : Ange-Laurence Brassard/L’Exemplaire).
Des objets vedettes sont exposés, dont le collier de Kate Philips. Celui-ci aurait inspiré le bijou surnommé « le Cœur de l’océan » dans le film de James Cameron. Sur les photographies, on retrouve Kate, son fiancé Henry et leur famille, dont l’histoire tragique serait à l’origine du couple mythique de Jack et Rose (photo : Gaëllane Gouillon/L’Exemplaire).
L’exposition propose aux visiteurs une immersion à bord du paquebot grâce à la présentation de 200 objets authentiques et de diverses reconstitutions. En parcourant les différents espaces du navire les visiteurs découvrent l’organisation de la vie à bord et les divisions sociales qui marquaient le début du XXᵉ siècle (photo :Ange-Laurence Brassard/L’Exemplaire).
Le Québec occupe une place particulière dans l’exposition Titanic du MCQ. Déjà présentée dans une vingtaine de villes, l’exposition intègre cette fois de nouveaux objets. Parmi eux, figure la bouée du navire de sauvetage du gouvernement canadien CGS Montmagny, construit à Sorel. Le 6 mai 1912, il est mobilisé à la récupération des corps des victimes du Titanic, au large de Terre-Neuve (photo : Gaëllane Gouillon/L’Exemplaire ).
Âgée de 4 ans à l’époque, Louise Kink a survécu au naufrage avec ses parents. Ce soir-là, elle est embarquée à bord du canot de sauvetage numéro 2, avec ces bottes. L’exposition présente un grand nombre d’objets similaires ayant appartenu à des victimes et à des survivants, ce qui rappelle la dimension humaine de l’histoire du Titanic (photo: Julianne Bernier/L’Exemplaire).
Depuis la découverte de l’épave, le Titanic a inspiré de nombreux films et documentaires à travers le monde. Néanmoins, le long-métrage de James Cameron, sorti en 1997, reste la création la plus connue et celle qui a contribué à ancrer la tragédie dans la mémoire collective (photo: Gaëllane Gouillon/L’Exemplaire).
Au-delà du cinéma, le mythe du Titanic a aussi alimenté une large gamme d’objets inspirés de son histoire. À titre d’exemples, l’entreprise Tayto a produit, en 2012, une édition limitée de croustilles pour célébrer les 100 ans du naufrage, ou encore, l’entreprise Fred a conçu des moules à glaçons à l’effigie du paquebot (photo: Julianne Bernier/L’Exemplaire).
L’exposition se conclut par un mémorial rendant hommage aux nombreuses victimes de la tragédie. Sur l’un des murs, une mosaïque a été réalisée à partir des visages de femmes, d’hommes et d’enfants, passagers de toutes classes, ainsi que des membres d’équipage ayant péri la nuit du 14 au 15 avril 1912 (photo : Julianne Bernier/L’Exemplaire).
















