QUÉBEC – Les victimes d’actes criminels sont souvent qualifiées de doubles victimes lorsqu’elles traitent avec l’IVAC, l’instance chargée de leur soutien. Ces dernières éprouvent bien des difficultés à obtenir un rendez-vous en consultation privée chez un psychologue qui accepte les mandats octroyés par l’organisme. Par conséquent, l’accessibilité des services psychologiques offerts par l’IVAC semble avoir des lacunes. Erika Bisaillon fait le point.