Cet été, l’Exemplaire passe en mode magazine : chaque semaine en juillet et en août, un nouveau reportage vous immergera dans un nouveau sujet qui explorera de nouveaux formats pour raconter l’information autrement.

Cette semaine, Z. Guennoun examine les enjeux sociaux et juridiques entourant la gestation pour autrui.

Au printemps 2014, une vive controverse a ravivé le débat sur la gestation pour autrui au Québec, qui reste une pratique qui se passe dans un flou juridique.

Au Canada, il n’est pas illégal de recourir aux services d’une mère porteuse. C’est plutôt sa rémunération qui est illicite. Au Québec, il est difficile pour les parents d’intention qui décident de faire appel aux services d’une gestatrice de se faire reconnaître comme parents légaux de l’enfant, aucun contrat n’étant reconnu.

Bref, la question de la maternité pour autrui a encore du chemin à faire pour qu’elle sorte au grand jour. Tour d’horizon sur une pratique dans l’ombre de la loi.

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