Cet été, l’Exemplaire passe en mode magazine : chaque semaine en juillet et en août, un nouveau reportage vous immergera dans un nouveau sujet qui explorera de nouveaux formats pour raconter l’information autrement.

Cette semaine, A. Lebreton s’intéresse à l’usage des drones par les autorités canadiennes pour surveiller le territoire arctique

Si 40% de la superficie totale du Canada est situé en Arctique, il parait irréaliste de surveiller un peu plus de 120 000 kilomètres carrés de terre. Pourtant, le pays souverain depuis des milliers d’années sur ce territoire glacial et très peu habité, exerce bel et bien une surveillance. Aujourd’hui effectuer par des bateaux cette surveillance, régulée par le ministère des Transports, pourrait être opéré par des drones.

Remplacer des drones par des humains, Transport Canada y songe. Au début du mois de mars, le ministère lançait un appel d’offres suggérant son intérêt certain pour les petits engins, et souhaitant obtenir des informations précises quant à un investissement éventuel. Mais alors que l’utilisation des drones est assez controversée, qu’est-ce qui pousse un gouvernement à porter un intérêt sur ces engins ? Quel type de drone pourrait opérer dans des conditions polaires ? Quels sont les raisons et les enjeux derrière une telle prise de décision ? Les questions sont nombreuses, le sujet complexe, et de toute manière, quand on parle d’Arctique, rien n’est simple!

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